Boulet, faire des blagues, il adore ça.
Nous, on aime moins.

C'est-à-dire que le niveau est un peu "à pleurer".

Allez, quelques exemples quand même, parce que vous m'êtes sympathiques (ou pas) :

1 / Mise en contexte : l'un de ses interlocuteurs privilégiés a le malheur de s'appeler Monsieur Barbier.
"Allez, faut que j'appelle Barbier. Le Barbier de Séville !!"

C'est bon, vous avez compris le style? On continue !

2/ Mise en contexte : pas besoin
"Ah, faut que je rappelle Laure Martin. Laure, de maison du café"

Comme vous pouvez le constater, le "petit plus" dans tout ça, c'est que Boulet commente tout ce qu'il fait ! Après tout, il n'y a que 3 autres personnes qui essaient de travailler dans le même bureau que lui.

3/ Mise en contexte : une collègue arrive un matin et nous informe que sa fille, Juliette, a été malade toute la nuit (ça arrive).
"Ah ah, Juliette... comme Roméo & Juliette !"
Regard noir de la mère de Juliette.
"Oh bin ça va, on peut pas être au top tous les jours" se défend vigoureusement Boulet.

Mais Boulet, le top, tu sais même pas où c'est, tellement c'est à des années-lumière au-dessus de ta tête !

Aujourd'hui, Boulet entre dans mon bureau et se plante devant mon ordi : "Dis, c'est quoi déjà la date de la réunion que tu as programmée ?"
(nous passerons sur le français approximatif)
"C'est écrit dans l'en-tête du mail que je viens d'envoyer, Boulet, c'est le 8 décembre."

C'est ausi écrit dans au moins 3 compte-rendus de réunion à disposition et dans l'agenda partagé du service. Mais bon, passons.
Boulet préfère faire perdre du temps à ses collègues, c'est "son" passe-temps à lui ! C'est pas pour rien qu'il s'appelle Boulet.