Sensation d’écoeurement. De dégoût ?
Humeur en montagnes russes. Plus que d’ordinaire, influencée par la moindre perturbation dans l’ordre des choses.
Tête pleine, fatigue intense. Mais ça ne se voit pas à l’extérieur.
Va-t-on m’accorder le bénéfice du doute ?
Oublier de payer les nounous fin novembre, le faire avec 5 jours de retard en s’excusant par texto un dimanche.
Tous les matins, Mr qui dépose Pti Tonique avec ¼ h de retard sur l’horaire officiel car nous sommes sans cesse à la ramasse. S’apercevoir ce matin qu’une nouvelle « gazette » de la crèche a été glissée dans le sac et stipule qu’il serait bien que les parents respectent les horaires fixés. Gloups.
« Il faudrait qu’on s’organise autrement » devient notre phrase fétiche. Mais c'est quand qu'on prend le temps d'y réfléchir, concrètement ?
Pas envie de me faire remonter les bretelles par gazette interposée ou de me dire qu’on ne me juge pas à la hauteur. Horreur de ce sentiment d’être « prise en faute », de ne pas assurer et que ça se voit.
Et puis qui va comprendre ? Une mère de famille qui travaille MAIS a son mercredi, qui n’a qu’UN SEUL enfant après tout, quand d’autres en ont 3 voire plus et sont organisées à mort pour ne rien oublier (les nounous par exemple).
Va-t-on me juger pour ça ?
Sentiment de lassitude certains jours – surtout les lundis, je remarque.
Envie de me mettre en boule, au chaud, de ne plus rien sentir (pharyngite, mal au dos, froid) et de ne plus bouger jusqu’à Noël / jusqu’à la fin du 1er trimestre, deux dates qui coïncident.
Marre.
j'aime l'image de la boule de coton : douillet, chaud, confortable... je l'imagine souvent quand j'ai mal quelque part